Supernova
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They thought to use and shame me but I win out by nature, because a true freak cannot be made. A true freak must be born.
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❝ Eurydice Courbedor ⊹ time tastes like killers of the flower moon ❞
Eurydice Courbedor
Sedna
Sedna

Eurydice Courbedor


Date d'inscription : 29/01/2024
Messages : 27
Année : Myra
Spécialité/Club : Forgemagie ⊹ Astronomie

   

Eurydice Courbedor

I could see, you won't admit there's no mess, maybe it's just you
ft. Guideau ⊹ The Beast & The Witch / Jodie Comer
carte d'étudiant
13.03 & 20 ans
Antarès
Stellaire
Myra
Assassin
Irrésistible
Forgemagie
Lesbienne

particularités

particularités

jusqu’à ses huit ans, Dice ne pouvait pas supporter le plus léger frottement sur sa peau lorsqu’elle sautait ⊹ dans la maison des souvenirs, la nubile traversait l’espace en flashs candides ⊹ elle a connu la honte quelques années plus tard sur le grand dessin de l’autre côté du miroir ⊹ n’effectuant plus que des sursauts, les mailles d’une cape en cheveux de sirène serrées sur ses épaules osseuses ⊹ Dice et son corps s’affronteraient sur l’autel du pouvoir ⊹ puisqu’aucun n’a plié, les deux ont rompu ⊹ c’est une téléportation d’atrophiée qu’éduque la Courbedor, qui vous jette contre le sol ou au plafond, n’a rien de la danse gracile de ses pairs ⊹ Dice, elle est recrachée à la sortie de chacun de ses portails comme une pestiférée des cordes de l’espace

Franklin

Franklin

Dice connaît Franklin depuis sa première année. Ils ressemblent à ses conjoints par arrangements qui se croisent par habitude dans le salon avant d’échanger un mouvement de tête embarrassé. Ils semblent avoir, d’un commun accord, renoncé à se chercher d’autres points communs que la mutualisation de leur utilité. Franklin n’a qu’à s’enfouir dans les pulls de Dice pour assister aux cours d’astronomie. Dice n’a qu’à continuer d’appliquer des post-it multicolores avec écrit. Est-ce que tomber amoureux d’un humain tue. Pourquoi le temps est plus fort que la vie. Comment l’espace peut respirer. Pour empêcher Franklin de devenir apathique.

personnalité

personnalité

Ce qu’on peut dire de Dice, c’est qu’elle a un jeton. Ils diront. Oui, mais 300 ans de longévité. Ils récuseront. Oui, mais avec ces parents-là. Ils tonneront. Oui, mais quand on est si jolie. Que ça ne changera pas la folie nichée, un oiseau de malheur, entre les barreaux de calcium de Dice. Parce que quand on possède cet aplomb, sans l’avoir appris, à afficher son indifférence aux remords, à la sensibilité, à la morale, c’est qu’on ne sera jamais l’ordinaire. La folie de Dice c’est difficile à subir parfois, d’écouter les applaudissements quand on voudra du temps pour trouver ses larmes, mais souvent c’est beau, la trouver qui chante à tue-tête sous la pluie, les yeux noirs à cause du mascara fondu et atrocement féminin, quand on passera un regard par la fenêtre du dortoir. Dice, c’est certain, ne peut et ne veut s’émouvoir pour aucun d’entre nous, mais Dice avec sa brutalité effervescente continuera de frotter sous les cils collés par le marchand de sables.

Dice respire la vie, elle n’a pas besoin de sauter pour occuper l’espace, elle serre le lustre d’une main, laisse le bout de sa chaussure taper contre le pied de table, triture les boutons de son paletot à la manière d’un jouet dont on veut faire sauter les yeux. Elle a une façon d’accabler son environnement de sa présence qui ne passe pas inaperçu. C’est la championne des moues de deux mètres de longs, les prunelles qui roulent presque hors des orbites, et des sourires sardoniques, ça canarde en timbales, avec l’air effronté ou condescendant. Sur ses quilles bien raides, la grâce jetée aux absents, Dice suffoque et irrite à la longue. Elle en tire toute la fierté des enfants solitaires. Regardez-moi. Regardez-moi sinon je disparais. Elle est joyeuse même quand c’est grossier. Jamais triste, toujours blessée, ressemble à ces bêtes sauvages dont l’apprivoisement est une expérience ratée.

Elle a les traits naturels de l’autorité Dice. Parce qu’elle déteste être d’accord avec le plan ou se faire expliquer comment elle devrait penser. Ça la rend folle, Dice, qu’on lui dise d’obéir ou de se tenir comme ci, regarder par là, c’est peut-être pour ça qu’elle ne veut jamais faire l’effort. Dice pourtant déteste tout autant être le commando. Elle préfère aux soldats bien disciplinés, les factions anarchistes et la guérilla des batailles au réfectoire, même que des fois, elle tire contre son propre camp. Ça ne lui fait pas peur les gros ennuis. Ce n’est pas pour braver le danger. C’est par sourire de l’insouciance. Et, elle adorera chuchoter à l’oreille de ses amis qu’elle trouvait que c’est parce que. C’était un peu ennuyeux aujourd’hui. Ils l’avaient bien mérité. C’est vrai, Dice elle a beaucoup de gueule, il faut avoir des après-midi à perdre pour l’écouter divaguer cette pipelette. C’est le problème avec cette tête pleine de trous, tout en sort en filaments décousus, côte à côte, les considérations sur l’existence et sa profonde haine pour la collerette dentelée du string cramoisi de Bettina qui dépasse de son jean taille basse.

Dice est une fausse rebelle. Elle veut bien faire croire qu’elle dira non toute sa vie, n’appartiendra jamais à aucun système, mais elle recherche la protection des puissants. Par sa nature d’exécutante, Dice redoute une vie livrée à sa seule indépendance. Paradoxalement, elle ne sécherait la vie mondaine pour rien au monde, où elle voudra toujours faire croire qu’elle est moins pauvre que la réalité, un luxe de seconde main et trop tapageur pour être sincère. Parce qu’à quoi rimeraient les siècles qui l’attendent sans une main pour flatter sa chevelure une fois le devoir accompli ? De peur de le découvrir, Dice se soucie de ses apparitions, aussi cacophoniques soient-elles signées, dans le dessein des autres et pour sa propre survie.

facts

facts

1m59 mais elle lève le genou très haut ⊹ paquetée en 48kg avec des os très lourds ⊹ une chevelure blonde diaphane qui fait la fierté de l’ordre des poupées ⊹ des yeux verdâtres comme les rivières vaseuses où ne veut pas mettre les orteils passé seize ans ⊹ elle le fait quand même, jusqu’au nombril ⊹ porte tous les vêtements comme des déguisements ⊹ préfère les bretelles de pantalon ou les énormes colliers de perles ⊹ aime le maquillage charbonneux qui donnent des airs d’actrices vieillottes ⊹ parfois même le vernis noir, mais elle a rarement la patience de réussir la moindre manucure ⊹ une peau laiteuse pleine de contusions à causes des multiples chutes à la sortie de ses sauts et de son acharnement à les poursuivre ⊹ un métabolisme très rapide qui l’oblige à manger comme un ogre ⊹ préfère la viande par-dessus tout ⊹ le thé au gingembre est son tue la faim et sa boisson d’apaisement ⊹ elle a une obsession pour l’odeur du santal et en collectionne des dizaines de bougies dans sa chambre ⊹ elle n’a jamais orné les murs de posters d’idoles ou de photos de proches ⊹ les préfère nus ou habités par des pensées griffonnées sur des feuilles volantes ou des post-it ⊹ souffre de puissantes insomnies qui l’amènent souvent à errer de nuit dans le dédale de son quartier ⊹ a un faible pour les gens qui s’opposent à elle, même si c’est, bien sûr, inavoué ⊹ collectionne les gros pulls en laine un peu ringards dont elle bouloche inévitablement les manches à force de gratter dessus ⊹ aime signer tous ses méfaits de façon plus ou moins subtile ⊹ colorer les cheveux de ses victimes en bleu céruléen ⊹ dessiner des smileys aux rouges à lèvres sur le miroir de ceux qu’elle dépossède ⊹ déposer un dé dans le tiroir à papier à lettre de ses ennemis ⊹ quand elle s’ennuie, elle souffle sur son nez pour faire voler une mèche blonde ou deux ⊹ elle n'est pas très branchée message, elle préfère les appels qui durent des heures et rendent fous ses voisines de chambres ⊹ elle est très facétieuse, genre rester sous son lit pendant des heures pour joaillier en hurlant lorsque quelqu’un entre dans la pièce ⊹ c’est facile de croire qu’on est son ami, c’est encore plus facile de se sentir trahir par elle ⊹ elle a un tatouage inspiré des traditions de tarot sur la cuisse qu’elle regrette pour sa naïveté ⊹ un second orne la chaire de son cou, un rose dans les épines forment des rosaces raffinées

histoire

And if tomorrow is just memory, what's the mystery

C’est un vaste manoir, une sépulture de cauchemar. Il n’y a qu’à voir les jardins dévorés de ronces et de menthes. Il n’y a qu’à regarder les corbeaux apprivoisés qui croassent aux oreilles de la maîtresse des lieux à peine la fenêtre du balcon ouverte. Il n’y a qu’à entendre le flash des sauts, un chuintement grésillant, qui balade des bougies aux odeurs de santal.

Les Courbedor sont de stellaires installés.
Le siècle dernier, c'était la fortune, le fleurissement des investissements, et, il n’y a qu’à voir, ce siècle, c'est la faillite et tout ce petit monde, Monsieur, Madame, leur fille sont parfaitement désargentés.

Ils n’en sont pas chagrins pour un sou. Ils donnent des banquets de tarama et de coquillettes, Frimousse, l’Amourssequin de Madame, continue de disposer l’argenterie démodée sur les napperons jaunis. Ce sont des gens très vieux, très insensibles aux aléas de la vie, dont l’écume n’a pas encore formé de mousse blanche à leur barbe ou de ridules à leur sourire. Ils respirent un fatalisme passif combiné à un sarcasme corrosif sur les affaires du monde. Parce qu’il faut être stellaire pour avoir, dans la même vie, servi son client, les enfants des ennemis de son client et maintenant les petits enfants des générations qu’ils avaient maudites.

À leur petite fille, ils témoignent cette même indifférence teintée d’élégance, la laisse faire toutes les frasques et les découvertes dans le vase clos de vérités qu’ils répètent entre eux comme des épées de Damoclès.

Les gens ne veulent pas de coursiers, ils veulent le répondeur vocal à coup sûr. Les gens ne veulent pas d’assassins, ils veulent une arme à feu qui ne rate jamais. Et les gens se trompent. Terriblement. Eurydice. Écoute pour une fois.
Ils vont commettre mille mauvaises décisions sans avoir le temps de s’en mordre les doigts. Elles seront exhumées avec leur cadavre bien avant et le dépôt qui restera de cette fumée noire sera la dernière preuve que nous avons existé, nous, leurs erreurs de jugement.

Eurydice n’y comprend rien ou ne veut rien n’y comprendre. Elle hante son manoir mieux que personne. Elle y invite des amis pour leur faire peur. Les enfermer au grenier ou jaillir nue de la baignoire induite de colorant rouge. Dans d’immenses chapiteaux de draps qui se prolonge en enfilade dans les pièces et les couloirs, elle occupe déjà le temps et l’espace avec une ténacité farouche.

Ce n’est pas la petite fille facile qu’on croise dans les livres d’image. Ce n’est pas une sainte Eurydice. Elle baise les coussinets des chats avec ses lèvres gercées et écoute aux portes quand elle ne se fait pas repérer en perdant bêtement l’équilibre sur ses petons impatients. Ce n’est pourtant rien d’affreux Eurydice. La tête sur les genoux de maman pour qu’elle coiffe ses cheveux avec ses ongles parfaitement peints d’un rose ballerine et les miettes de biscuits au gingembre collés sur les babines après chaque goûté proclamé.

Eurydice croise la puberté par inadvertance, en robe de chambre, face à la coiffeuse qui n’avait jamais été qu’un accessoire complémentaire de sa fantaisie de petite fille. Elle reste une main sur le cœur, prostrée et les yeux remplis de trahison, devant ce délicat reflet qui est venu tirer le tissu du corset. Lorsqu’elle a brisé le miroir avec la brosse où de grosses pivoines dorées fleurissaient le manche, elle a distinctement entendu ses parents rirent de bon cœur. Sept ans de malheur. Sa première malédiction a un petit goût intoxicant qu’Eurydice ne le croisera qu’en tirant sur une cigarette une bonne dizaine d’années plus tard.

Dice débarque à Colombe, le nez en poupe et affichant une maigreur méchante. Elle a évaporé ses airs de sauvageonne et s’ingénue assidûment à rester dans la périphérie des ennuis. Ici, l’air chamarré par tous les souffles des Zodiaques a du bon. Elle peut s’y effacer ou s’y dessiner comme bon lui semble. Elle tire un trait, ou presque, sur la maison des souvenirs pour engloutir son énergie dans les mièvreries de l’adolescence et les sales coups de Sedna. Obsédée par la maîtrise de ses bonds, elle s’inscrit naturellement dans cette spécialité et profite des cours d’astronomie pour éduquer un romantisme qui ne recrachera jamais que des cœurs déçus. Puisque Dice n’est pas certaine d’être très entourée ou très seule et, puisqu’aussi, on n'est que la somme des erreurs de jugement des autres, elle s’entiche des gens sans distinction ou exigence.

Un jour, un stellaire est mort.
Foudroyé par une magie si profonde que certains pourraient la déclarer occulte.
Sur le balcon du salon commun où ça jase : majoritairement, un humour discutable et quelques timbres flanqués d’effroi, Dice se balance par les pieds, à la mode cochon pendu, en ricanant, son visage rougeaud à cause du sang qui a rampé sur le front.
Pour une fois qu’il se passe quelque chose ici.

Capryss

Capryss

Comment nous as-tu connu?

mystères et boules de gomme...^^

Parle-nous un peu de toi.

de toi.

Si tu étais une espèce magique, laquelle serais-tu?

un pois(s)on

Et si tu avais un familier, lequel serait-ce?

Lys, il me fait trop rire avec sa petite moue dédaigneuse

Ava Miller
Cérès
Cérès

Ava Miller


Date d'inscription : 28/01/2023
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Année : Dana 。゚☆
Spécialité/Club : Histoire humaine 。゚☆ Divination

   
rubans
slt j'avais dit que je passerais donc me voilà harmony


je suis trop amoureuse de eurydice. elle est vraiment FIOUUU, une folie !!!!!!!! j'adore le fait que ses sauts, c'est eux qui décident...genre elle se fait grv boloss et je trouve ça trop cool. dsl dice !!!!!! jspr qu'un jour elle va sauter sur ava sans le vouloir et qu'elles vont se tirer les cheveux.


en tout cas, c la femme qu'elle pense être...je lui donne tout, même à franklin qui pipe pas mot...moi nn plus je saurais pas quoi dire devant elle !!! 
déjà le ft, jodie !!!!!!! trop in love je l'aime trop (j'ai jamais rien regardé avec elle mais les cours extraits m'ont tjrs...grrr) ensuite le fait qu'elle soit toute petite avec une si grande gueule, ça me fait rire voilà 


en tout cas, je la trouve vraiment fraîche avec son envie d'être vu pour ne pas mourir, le fait qu'elle occupe autant d'espace avec juste elle et toute sa personnalité débordante... elle mérite tellement d'amour, et j'espère que même si ses ennemis ont les cheveux verts avec des dés pleins les poches, ils seront assez sympas avec elle pour qu'elle rayonne aussi fort que le soleil !!!!!!!!!!!!!!! 
son histoire aussi, je la trouve touchante sans mélodrame, juste la lassitude de la vie, les bêtises friponnes et la puberté qui tape, ça fait mal toujours.... !!!!!!!!


bref, je l'aime bcp et c'est superbement écrit comme tjrs, g hâte de la découvrir inrp et de la voir faire des bêtises partout, avec son talent passif, ça me fait déjà rire de l'imaginer se faire mousser par tous les pnj...  heart2heart
Invité
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Anonymous



   
Bienvenue et félicitations pour la validation !
J'adore les petits facts de Dice puis dès le début
1m59 mais elle lève le genou très haut
On est le gang des small girl harmony
Hazel Fabre
Hauméa
Hauméa

Hazel Fabre


Date d'inscription : 06/02/2024
Messages : 31
Année : Kastor
Spécialité/Club : Spé E.M., option étude des créatures magiques, club botanique

   
BIENVENUE (t'es arrivée bien avant moi mais on s'en fiche)

J'adore Eurydice mais tu sais déjà, elle est folle dans tous les sens du terme, il y a ce bout de chaos chez elle qui se marie teeeellement bien à ta plume c'est vraiment le genre de personnage qui est fait pour toi ça se sent, avec toutes ces métaphores et ces images djsipoqo, impossible de (trop) en vouloir à Dice quand elle met le bazar partout
Aussi j'aime trop sa relation à Franklin et les petits mots qu'elle lui laisse c'est trop chou je tenais à dire
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