Supernova
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They thought to use and shame me but I win out by nature, because a true freak cannot be made. A true freak must be born.
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Theodore Poole - Hurle l'orage
Theodore Poole
Eris
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Theodore Poole


Date d'inscription : 30/01/2024
Messages : 14
Année : *ੈ✩‧₊˚ KASTOR
Spécialité/Club : *ੈ✩‧₊˚ DROIT MAGIQUE *ੈ✩‧₊˚ DIVINATION//SPORTS

   

Theodore Poole

*ੈ✩‧₊˚ THE SKYLINE FALLS AS I TRY TO MAKE SENSE OF IT ALL
ft. FT. LI SHAOLAN (CCS) *ੈ✩‧₊˚ KIM JONGSEOB (P1H)
carte d'étudiant
18.06 *ੈ✩‧₊˚ DIX-NEUFS ANS
*ੈ✩‧₊˚ ANTARES
*ੈ✩‧₊˚ MEDIUM
*ੈ✩‧₊˚ Kastor
*ੈ✩‧₊˚ Mage
*ੈ✩‧₊˚ Irrésistible
*ੈ✩‧₊˚ DROIT MAGIQUE  *ੈ✩‧₊˚ DIVINATION//SPORTS
*ੈ✩‧₊˚  SANS LES MOTS

particularités

particularités

*ੈ✩‧₊˚ ce sont les épaules qui tremblent quand tes doigts effleurent une épaule, un poignet, la peau découverte de ceux qui osent te toucher. se sont des larmes qui se forment dans le coin de tes yeux, qui les font briller comme la voie lactée. ce sont les souvenirs qui viennent, doucement, t'animer. souvenirs d'un futur encore jamais vécu, souvenirs d'un autre, de toi, du monde, du passé que tu n'as jamais vu. terribles prédictions que tu ne voudrais jamais voir, terribles prédictions qui laissent couler tes larmes. et c'est tout ton corps qui frissonne, tout tes muscles qui se figent, et c'est difficile de respirer, ça fait rire le monde les sanglots qui t'étouffent quelques secondes. et tu ne comprends rien, pas encore, c'est normal disent-ils, tu comprendras plus tard. peut-être qu'un jour ça ne sera plus douloureux, peut-être qu'un jour ça te fera plus pleurer, peut-être qu'un jour tu riras du malheur des autres, qu'à gorge déployée tu chanteras leur mort. mais aujourd'hui encore, te voilà plein de remord, le sommeil dans la tête quand les larmes tarissent sur tes joues, quand les muscles se détendent, quand les genoux touchent le sol. peut-être qu'un jour, tu deviendras plus fort.

singsong

singsong

*ੈ✩‧₊˚ pour calmer les ardeurs, les folies, la passion. que tu voudrais le faire taire, qu'il calme tes insomnies, qu'il soigne tes terreurs, berceuses susurrées au creux de ton cou, dans le fond de ton oreille. qu'il est si différent de toi, que vous n'allez pas ensemble. qu'il est étrange, qu'il te dit doucement que rien ne va. cadeau que l'on t'a fait, d'abord rejeté, ignoré, sur lequel tu as crié. ce n'était pas toi, pas assez, tu voulais plus. les chants doucement pour t'apaiser, pour te faire comprendre que ça allait. ignoré, souvent, comme s'il n'existait pas, secret dans l'intimité, attendu et remercié.

personnalité

personnalité

*ੈ✩‧₊˚ Miroir qui sourit, l'image délicate qui se dessine, vague, dans le regard du matin. matin que tu détestes, lever du jour que tu aimerais faire taire, soleil que tu voudrais retenir de tes doigts. force, que tu ne maitrises pas toujours, violence qui dit plus que les mots. facile de se laisser aller, de rire doucement, trop peut-être, le sourire sur le visage amusé, amusant. l'envie de faire rire, les autres, le monde, d'éclairer plus que l'astre ne le fait. la nuit pour maison, pour demeure, pour se laisser aller aux péchés. capitaux, capitulé.

enfant grandi trop vite, mature,  qui ne voudrait encore que se cacher dans les jupes de maman. tu fais bien les choses, comme on te l'a appris. minutieux, un peu trop, folie passagère, le sérieux au bout des doigts, phalanges tremblantes, myocarde emballé, la réussite dans le regard, les étoiles qui brillent s'enflamment. attention, précipité. course contre la montre, trotteuse que tu ne battras jamais.

image, livre aux pages blanches, bien sage assis, obéissant, sans rébellion. la colère qui boue, volcan, éruption. cris silencieux, étouffes, les jérémiades murmurées, la honte que l'on t'entende. demi-tour à contre cœur, perte de temps, course contre la montre. ne pas savoir dire non, courber l'échine, parfois, quand on ne laisse pas le choix. rendre service. écouter, une épaule à prêter. Pas surveillés, sur la pointe des pieds, traces effacées pour ne pas être pris au piège, agacé.

sept fois dans le fond de ta gorge, à tourner doucement, la langue venimeuse, les mots plus rapides que les pensées, celles qui tournent, tornade, tempête, envolées. beau-parleur, charmeur, à t'amuser des joues rouges et des rires gênés, à en faire trop. abusé, désabusé. sans excuses, la tête haute, première chose à vouloir faire tomber, que l'on te fasse trébucher. pied d'estale trop haut, que l'on te fasse tomber. rires amusés.
destitué.

éloigné, terré, la solitude comme rassuré. enjoué, terrifié, sans limite, mélangé. étrange et chaviré, à la dérive depuis des années. abandonné, des uns, des autres, de tout côté. ailleurs probablement, rêveur sûrement, les étoiles dans les doigts. destiné, écrite, tissées, que l'on aimerait séparer, couper, recommencer. détester, les mots, les phrases, les images. rire du malheur, du tien, condamnation certaine.
damnation.

facts

facts

*ੈ✩‧₊˚ myopie, des lunettes sur le bout du nez, difficile de lire ;*ੈ✩‧₊˚ gants, pour échapper aux prémonitions, pour n'effleurer aucune peau *ੈ✩‧₊˚ rouge, les joues qui se colorent souvent, de colère, de peur, de tristesse *ੈ✩‧₊˚ esprits, la peur des revenants, l'envie de fuir, de leur tourner le dos *ੈ✩‧₊˚ livres, la lecture comme échappatoire, les histoires d'amour pour faire semblant d'y croire *ੈ✩‧₊˚ insomnies, hanté par des souvenirs, les pensées qui ne se taisent jamais *ੈ✩‧₊˚ grand, les jambes infinies, le visage qui surplombe *ੈ✩‧₊˚ bégaiement, les idées qui vont trop vite, le besoin de te reprendre, de recommencer *ੈ✩‧₊˚ sport, courir à en perdre la raison, l'adrénaline de la difficulté, l'envie de ne jamais arrêter *ੈ✩‧₊˚ lacets, toujours défaits, qui traînent sur le sol, à moitié mangés *ੈ✩‧₊˚ étoile, que l'on aime regarder, que l'on veut compter *ੈ✩‧₊˚ musique, qui coulent sur les tympan, rendra sourd un jour *ੈ✩‧₊˚ boule de cristal, bille de verre pour rigoler, s'amuser, ronde entre tes doigts, comme une blague *ੈ✩‧₊˚ carnet, pour noter, ne pas oublier, les moments de vie, les bouts de journaux, les souvenirs

histoire

ON S'ÉTAIT PROMIS DE MOURIR À CHAQUE SEPTIÈME VIE

C'est un don que de savoir, c'est ce qu'ils disent tous. C'est un don que de tout connaître, que d'être omniscient. Tu es mieux que les autres, c'est certain. Tu es promis à de grandes choses, c'est la famille qui le dit. Celle qui se laisse ronger par ce savoir, qui se laisse consumer par les souvenirs. Tu as de la chance, répété comme une prière, tu as de la chance. La chance de les voir perdre raison, de ne plus les comprendre. Tu as de la chance, on ne t'oublieras jamais, tu es sans leur sang, dans leur peau, tu es gravé dans chacun de ces mondes, inscrit dans les étoiles.
Tu as de la chance de ne pas encore comprendre, d'ignorer, de faire semblant.

Tu aurais voulu naître ailleurs, découvrir le monde, parcourir les plaines. Tu aurais voulu une autre famille, peut-être même un autre nom. Tu ne renies pas, tu oublies, tu ne dis plus rien. Tu ne leur en veux pas, ils sont étranges, ils marmonnent encore sans leurs barbes, les yeux vides, hagards, que tu as de la chance, mais pourquoi ne le comprends-tu pas ? Pourquoi ne le vois-tu pas ?

Tu n'avais pas envie de voir, ni d'avoir de la chance. Tu n'avais pas envie d'être ce qu'ils sont, pas comme ça. Tu n'avais pas envie d'avoir peur que ta peau en effleure une autre. Tu n'avais pas envie d'avoir peur de savoir, de connaître, d'imaginer, d'y penser sans cesse, d'être obsédé. Tu n'avais pas envie de devenir fou, de tourner en rond, enfermé dans ce qu'il pourrait se passer, dans les conditionnels et les souvenirs mis en bouteille. C'est comme être enfermé, emprisonné. C'est comme être quelqu'un d'autre, dépossédé. Tu étais entier, quelqu'un, tu étais toi - ni les rêves des uns, ni l'espoir des autres.

Tu ne te souviens pas de la première fois, ton corps qui se redit, les sanglots qui te secouent, la nausée, celle qui ne te quittera jamais. Tu ne te souviens pas de la mort, du goût qu'elle a, de sa voix. Tu ne te souviens pas l'avoir vue, l'avoir entendue. Tu ne te souviens pas avoir gardé le silence.
Tu n'as pas de chance.

Toi, c'est ce que tu crois. Tu n'as pas de chance, condamné à mort, condamné à pleurer, pauvre créature. Tu n'as pas de chance, comme ils le disaient, tu ne crois en rien, tu ne crois en personne. Tu ne veux plus du goût salé des larmes, tu ne veux plus de la poitrine qui se sert.

Papa, maman, tu ne sais plus vraiment. Papa te réconforte, c'est normal dit-il, les doigts à l'arrière du crâne, maman te dit que c'est comme ça, que tu n'y peux rien, elle souffre elle aussi, elle fait avec. Mais peut-être que tu n'as jamais eu envie de faire avec, peut-être qu'ils auraient dû faire un choix. Ne l'a-t-elle pas vu, maman, que tu serais malheureux, rien qu'un peu ?

Un don, peut-être, c'est vrai. Esprit omniscient, décalé, ailleurs. Habitué, sûrement, maintenant. Les premiers amours, de nouvelles larmes, des rires, l'envie d'éviter le monde, de te mettre loin, en retrait, de les regarder. Imaginer leurs vies, celles que tu ne verras pas, jamais.

Quitter le nid, libéré de la folie. Loin d'eux et de leurs murmures, loin d'eux et de leurs souffles chauds. Loin de tout, sûrement. Loin de ce que tu peux voir, déceler. Premiers pas dans l'incertitude, sans savoir ce qu'il va se passer. Le cœur qui tambourine, les joues qui chauffent.

La mort jamais bien loin, les regards en coin. Tu n'en savais rien, même si tu avais voulu, peut-être que tu ne l'aurais jamais su. Tu n'en es pas là encore, pas comme les tiens, pas comme tes anciens. Regards en coins, murmurs indécents. La mort plane au-dessus de toi, comment ne pas le savoir ? Mais tu n'y es pour rien, jamais vu, jamais entendu, le corps étendu. Tu ne le savais pas, tu ne sais rien.
Tu ne sais plus.
Ce sont tes anciens qui sombrent petit à petit dans la folie entre les fragments de souvenir quand le présent glisse encore entre tes doigts.
Tu n'y es pour rien, toi.

R1BÔ

R1BÔ

Comment nous as-tu connu?

*ੈ✩‧₊˚ mystère et boule de gomme !

Parle-nous un peu de toi.

*ੈ✩‧₊˚ mange mon poiro ^^

Si tu étais une espèce magique, laquelle serais-tu?

*ੈ✩‧₊˚ une fée, rien d'autre

Et si tu avais un familier, lequel serait-ce?

*ੈ✩‧₊˚ mousse-thé en fait, ma vie

Invité
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Anonymous



   
Bienvenue ♡

C'est très étoilé par ici, hâte de voir tout ça se remplir et de découvrir un peu plus d'informations sur le personnage, courage pour la fiche stars1
Eurydice Courbedor
Sedna
Sedna

Eurydice Courbedor


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vous ici Theodore Poole - Hurle l'orage  1f633

j'spr que j'aurais droit à 1 rp Theodore Poole - Hurle l'orage  1f498
Hazel Fabre
Hauméa
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Hazel Fabre


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Spécialité/Club : Spé E.M., option étude des créatures magiques, club botanique

   
LI SHAOLAN ? Bjr bienvenue je sais déjà que tu es une personne de bon goût

Y'a des étoiles partout dans cette fiche j'aime trop ? Ca place déjà l'ambiance et rien qu'aux premiers mots écrits ça se sent que ça va coller si bien au personnage, j'aime beaucoup aussi la musicalité de ce qu'on peut déjà lire avec ta plume et ben doqôssdoi vivement la suite mais no pression va à ton rythme ce sera un plaisir de tout lire quand tu auras tout bien terminé !!
Ava Miller
Cérès
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Ava Miller


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Spécialité/Club : Histoire humaine 。゚☆ Divination

   
je te jure si tu te dépêches pas je vais péter un boulon c'est mon dernier avertissement

à bon entendeur
Theodore Poole
Eris
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@EURYDICE COURBEDOR > Nous aussi, c'est incroyable ! hâte hihi

@HAZEL FABRE > Shaolan, mon fils en fait. <3 merci bcp pr les compliments, ça me rougir de plaisir...

@AVA MILLER > Comme dirait certains.... bref.... ^^
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